Titre : | Hé bien ! La guerre | Type de document : | texte imprimé | Auteurs et autres personnes : | Jack-Alain Léger (1947-2013), Auteur | Edition : | 2006 | Editeur : | Paris [France] : Denoël (Gontier) | Année : | 2006 | Importance : | 510 pages | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-207-25289-5 | Langues : | Français (fre) Langues originales : Français (fre) | Catégories : | Littérature: Du XXIe Littérature: Roman
| Résumé : | Ultime tour de piste d'un écrivain définitivement exclu du spectacle et à qui n'est resté que sa petite musique. Assemblage, assortiment des premières pages de livres abandonnés en chemin faute de temps, autrement dit faute d'argent, le nerf de la guerre pour qui vit sa plume. Vestiges d'une oeuvre à venir qui demeurera donc inachevée. Avec, en prime, de très brefs essais réunis ici comme autant de coups de chapeau aux artistes révérés : Mozart, Shakespeare, Büchner, Rossini, Strauss, Vélasquez, Cervantès, Hofmannsthal, Pouchkine et quelques autres. "Vous serez un grand écrivain posthume", me prédit un éminent éditeur il y a déjà vingt ans de cela. J'en accepte aujourd'hui l'augure en publiant, comme l'avait décidé avant moi Musil, "l’œuvre posthume de mon vivant". Je n'étais pas fait pour le cirque moderne. J'ai trop cru en la littérature, trop peu sacrifié à l'image. Franc-tireur isolé, j'ai perdu la guerre... Hé bien ! la guerre. |
Hé bien ! La guerre [texte imprimé] / Jack-Alain Léger (1947-2013), Auteur . - 2006 . - Paris (France) : Denoël (Gontier), 2006 . - 510 pages. ISBN : 978-2-207-25289-5 Langues : Français ( fre) Langues originales : Français ( fre) Catégories : | Littérature: Du XXIe Littérature: Roman
| Résumé : | Ultime tour de piste d'un écrivain définitivement exclu du spectacle et à qui n'est resté que sa petite musique. Assemblage, assortiment des premières pages de livres abandonnés en chemin faute de temps, autrement dit faute d'argent, le nerf de la guerre pour qui vit sa plume. Vestiges d'une oeuvre à venir qui demeurera donc inachevée. Avec, en prime, de très brefs essais réunis ici comme autant de coups de chapeau aux artistes révérés : Mozart, Shakespeare, Büchner, Rossini, Strauss, Vélasquez, Cervantès, Hofmannsthal, Pouchkine et quelques autres. "Vous serez un grand écrivain posthume", me prédit un éminent éditeur il y a déjà vingt ans de cela. J'en accepte aujourd'hui l'augure en publiant, comme l'avait décidé avant moi Musil, "l’œuvre posthume de mon vivant". Je n'étais pas fait pour le cirque moderne. J'ai trop cru en la littérature, trop peu sacrifié à l'image. Franc-tireur isolé, j'ai perdu la guerre... Hé bien ! la guerre. |
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