Titre : | Un jour cette douleur te servira | Titre original : | Someday This Pain Will Be Useful to You | Type de document : | texte imprimé | Auteurs et autres personnes : | Peter Cameron (1959-), Auteur | Edition : | 2008 | Editeur : | Paris [France] : Payot & Rivages | Année : | 2007 | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7436-1819-3 | Langues : | Français (fre) Langues originales : Américain (ame) | Catégories : | Littérature: Du XXIe Littérature: Roman
| Mots-clés : | adolescence gay | Résumé : | James Sveck, un New-Yorkais de dix-huit ans, ne se sent en phase ni avec son époque ni avec son âge et refuse catégoriquement d’entrer à l’université. À l’en croire, seuls le chien et son exquise grand-mère le comprennent et l’idée d’acheter une maison au beau milieu de nulle part pour y vivre avec ses livres lui semble la meilleure qui soit.
Sa mère, abonnée au divorce, son père, débordé d’importance et sa soeur, préoccupée par son amant, tentent de le raisonner. En vain.
James est donc sommé de se rendre chez un psychiatre ; mais c’est dans la galerie d’art extrêmement contemporain tenue par sa mère que les tourments du jeune homme trouveront nom et résolution. |
Un jour cette douleur te servira = Someday This Pain Will Be Useful to You [texte imprimé] / Peter Cameron (1959-), Auteur . - 2008 . - Paris (106, boulevard Saint-Germain, 75006, France) : Payot & Rivages, 2007. ISBN : 978-2-7436-1819-3 Langues : Français ( fre) Langues originales : Américain ( ame) Catégories : | Littérature: Du XXIe Littérature: Roman
| Mots-clés : | adolescence gay | Résumé : | James Sveck, un New-Yorkais de dix-huit ans, ne se sent en phase ni avec son époque ni avec son âge et refuse catégoriquement d’entrer à l’université. À l’en croire, seuls le chien et son exquise grand-mère le comprennent et l’idée d’acheter une maison au beau milieu de nulle part pour y vivre avec ses livres lui semble la meilleure qui soit.
Sa mère, abonnée au divorce, son père, débordé d’importance et sa soeur, préoccupée par son amant, tentent de le raisonner. En vain.
James est donc sommé de se rendre chez un psychiatre ; mais c’est dans la galerie d’art extrêmement contemporain tenue par sa mère que les tourments du jeune homme trouveront nom et résolution. |
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