Titre : | La Folie du moment | Type de document : | texte imprimé | Auteurs et autres personnes : | Jean Francois Kervéan (1962-), Auteur | Année : | 1994 | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7021-2357-7 | Langues : | Français (fre) Langues originales : Français (fre) | Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Roman
| Mots-clés : | gay prison | Résumé : | Un homme est amené à la prison de la Santé. C'est un meurtrier, très grand, myope.
Il a voulu tuer sa femme en la poussant par la fenêtre. C'est du moins ce qu'on lui a dit, mais il ne sait pas très bien si ce moment a existé, un moment comme une "éclipse", un moment à corriger.
Cécile, sa femme, n'est pas morte, elle est allongé, quelque part, dans une chambre d'hôpital.
Son compagnon de cellule, le Parfumeur, a immédiatement repéré le meurtrier. Il le trouve beau. Le regarde, des heures durant, jusqu'au vertige. Contemple cet homme, semblable à "une surface magnétique et bleue". Les heures battent lentement. Tout est flou.
Tout, sauf le désir, qui la nuit mord les sexes, monte comme une fièvre lente.
Le Parfumeur aura le corps du meurtrier.
A force de le vouloir. Le meurtrier le lui donnera, et trouvera, dans ce don, la force d'un aveu à la femme aimée.
| Récompenses : | Prix du premier roman, 1994 |
La Folie du moment [texte imprimé] / Jean Francois Kervéan (1962-), Auteur . - 1994. ISBN : 978-2-7021-2357-7 Langues : Français ( fre) Langues originales : Français ( fre) Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Roman
| Mots-clés : | gay prison | Résumé : | Un homme est amené à la prison de la Santé. C'est un meurtrier, très grand, myope.
Il a voulu tuer sa femme en la poussant par la fenêtre. C'est du moins ce qu'on lui a dit, mais il ne sait pas très bien si ce moment a existé, un moment comme une "éclipse", un moment à corriger.
Cécile, sa femme, n'est pas morte, elle est allongé, quelque part, dans une chambre d'hôpital.
Son compagnon de cellule, le Parfumeur, a immédiatement repéré le meurtrier. Il le trouve beau. Le regarde, des heures durant, jusqu'au vertige. Contemple cet homme, semblable à "une surface magnétique et bleue". Les heures battent lentement. Tout est flou.
Tout, sauf le désir, qui la nuit mord les sexes, monte comme une fièvre lente.
Le Parfumeur aura le corps du meurtrier.
A force de le vouloir. Le meurtrier le lui donnera, et trouvera, dans ce don, la force d'un aveu à la femme aimée.
| Récompenses : | Prix du premier roman, 1994 |
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