Titre : | La Course à l'abîme | Type de document : | texte imprimé | Auteurs et autres personnes : | Dominique Fernandez (1929-) , Auteur ; Le Caravage (1571-1610), Personne représentée, étudiée ou honorée | Edition : | 2005 | Editeur : | Paris [France] : Le Livre de Poche | Année : | 2002 | Autre Editeur : | Paris [France] : Grasset | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-253-11275-4 | Langues : | Français (fre) Langues originales : Français (fre) | Catégories : | Littérature: Du XXIe Littérature: Roman Littérature:Historique & biofiction
| Résumé : | Rome, 1600. Un jeune peintre inconnu débarque dans la capitale et, en quelques tableaux d’une puissance et d’un érotisme jamais vus, révolutionne la peinture. Réalisme, cruauté, clair-obscur : il bouscule trois cents ans de tradition artistique. Les cardinaux le protègent, les princes le courtisent. Il devient, sous le pseudonyme de Caravage, le peintre officiel de l’église. Mais voilà : c’est un marginal-né, un violent, un asocial ; l’idée même de « faire carrière » lui répugne. Au mépris des lois, il aime à la passion les garçons, surtout les mauvais garçons,
les voyous. Il aime se bagarrer, aussi habile à l’épée que virtuose du pinceau.
Condamné à mort pour avoir tué un homme, il s’enfuit, erre entre Naples, Malte, la Sicile, provoque de nouveaux scandales, meurt à trente-huit ans sur une plage au nord de Rome. Assassiné ? Sans doute. Par qui ? On ne sait. Pourquoi ? Tout est mystérieux dans cette vie et dans cette mort. |
La Course à l'abîme [texte imprimé] / Dominique Fernandez (1929-) , Auteur ; Le Caravage (1571-1610), Personne représentée, étudiée ou honorée . - 2005 . - Paris (France) : Le Livre de Poche : Paris (France) : Grasset, 2002. ISBN : 978-2-253-11275-4 Langues : Français ( fre) Langues originales : Français ( fre) Catégories : | Littérature: Du XXIe Littérature: Roman Littérature:Historique & biofiction
| Résumé : | Rome, 1600. Un jeune peintre inconnu débarque dans la capitale et, en quelques tableaux d’une puissance et d’un érotisme jamais vus, révolutionne la peinture. Réalisme, cruauté, clair-obscur : il bouscule trois cents ans de tradition artistique. Les cardinaux le protègent, les princes le courtisent. Il devient, sous le pseudonyme de Caravage, le peintre officiel de l’église. Mais voilà : c’est un marginal-né, un violent, un asocial ; l’idée même de « faire carrière » lui répugne. Au mépris des lois, il aime à la passion les garçons, surtout les mauvais garçons,
les voyous. Il aime se bagarrer, aussi habile à l’épée que virtuose du pinceau.
Condamné à mort pour avoir tué un homme, il s’enfuit, erre entre Naples, Malte, la Sicile, provoque de nouveaux scandales, meurt à trente-huit ans sur une plage au nord de Rome. Assassiné ? Sans doute. Par qui ? On ne sait. Pourquoi ? Tout est mystérieux dans cette vie et dans cette mort. |
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