Titre : | La ville dont le prince est un enfant | Type de document : | texte imprimé | Auteurs et autres personnes : | Henry de Montherlant (1895-1972) , Auteur | Edition : | 1971 | Editeur : | Paris [France] : Le Livre de Poche | Année : | 1951, remanié en 1967 | Langues : | Français (fre) Langues originales : Français (fre) | Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Théâtre & scénario
| Mots-clés : | christianisme | Résumé : | Dans la dédicace de cette pièce (au titre emprunté à un verset de l'Ecclésiaste : Malheur au pays dont le prince est un enfant) comme dans la postface de 1954, Henry de Montherlant s'explique sur le scrupule qui l'a retenu longtemps de laisser jouer un teste mûri pendant des années, écrit depuis 1951 et établi puis représenté en 1967 dans la forme définitive présentée ici. Ce scrupule est né de l'estime qu'il portait aux maîtres de sa jeunesse et à la crainte d'un malentendu sur ses intentions à propos d'un sujet délicat.
« La Ville », c'est le collège religieux que Montherlant chantait dans sa première oeuvre, La Relève du Matin. Il y situe le drame de deux enfants et d'un prêtre attirés les uns vers les autres par des sentiments puissants où il entre de l'amitié, de la tendresse, de la charité, du désir. Drame tout intérieur, d'une admirable sobriété, que domine la figure inquiétante de l'abbé de Pradts, prêtre que sa passion des êtres égare jusqu'à le conduire au seuil de la révolte. |
La ville dont le prince est un enfant [texte imprimé] / Henry de Montherlant (1895-1972) , Auteur . - 1971 . - Paris (France) : Le Livre de Poche, 1951, remanié en 1967. Langues : Français ( fre) Langues originales : Français ( fre) Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Théâtre & scénario
| Mots-clés : | christianisme | Résumé : | Dans la dédicace de cette pièce (au titre emprunté à un verset de l'Ecclésiaste : Malheur au pays dont le prince est un enfant) comme dans la postface de 1954, Henry de Montherlant s'explique sur le scrupule qui l'a retenu longtemps de laisser jouer un teste mûri pendant des années, écrit depuis 1951 et établi puis représenté en 1967 dans la forme définitive présentée ici. Ce scrupule est né de l'estime qu'il portait aux maîtres de sa jeunesse et à la crainte d'un malentendu sur ses intentions à propos d'un sujet délicat.
« La Ville », c'est le collège religieux que Montherlant chantait dans sa première oeuvre, La Relève du Matin. Il y situe le drame de deux enfants et d'un prêtre attirés les uns vers les autres par des sentiments puissants où il entre de l'amitié, de la tendresse, de la charité, du désir. Drame tout intérieur, d'une admirable sobriété, que domine la figure inquiétante de l'abbé de Pradts, prêtre que sa passion des êtres égare jusqu'à le conduire au seuil de la révolte. |
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