Titre : | Les Oiseaux de la plage | Titre original : | Pajaros de la playa | Type de document : | texte imprimé | Auteurs et autres personnes : | Severo Sarduy (1937–1993), Auteur ; Aline Schulman, Traducteur/trice | Edition : | 1994 | Editeur : | Paris [France] : Gallimard | Année : | 1993 | Collection : | La nouvelle croix du sud | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-07-073850-2 | Langues : | Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) | Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Roman Littérature:Fantastique
| Mots-clés : | sida | Résumé : | Dans une île proche des côtes africaines, une grande bâtisse dont le cœur est un pentagone de verre sur lequel passent et viennent mourir les oiseaux. Au-dehors, des sectes de naturistes en quête d'«abeilles lunaires». À l'intérieur, des garçons et des filles devenus de «jeunes vieillards», rongés par le progrès d'un inguérissable épuisement. Plus une authentique vieille un peu folle, cocotte des années trente restée fidèle au style Sonia Delaunay, venue s'installer là avec son chat «parce que rien n'est pire que la solitude». Au fur et à mesure que les autres s'affaiblissement, elle, grâce à beaucoup de plantes et aux soins trop empressés de deux médecins, miraculeusement rajeunit. Monte progressivement une troisième voix, le journal d'un cosmologue, où se livre à nu la méditation : comment apprendre à mourir ? |
Les Oiseaux de la plage = Pajaros de la playa [texte imprimé] / Severo Sarduy (1937–1993), Auteur ; Aline Schulman, Traducteur/trice . - 1994 . - Gallimard, 1993. - ( La nouvelle croix du sud) . ISBN : 978-2-07-073850-2 Langues : Français ( fre) Langues originales : Espagnol ( spa) Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Roman Littérature:Fantastique
| Mots-clés : | sida | Résumé : | Dans une île proche des côtes africaines, une grande bâtisse dont le cœur est un pentagone de verre sur lequel passent et viennent mourir les oiseaux. Au-dehors, des sectes de naturistes en quête d'«abeilles lunaires». À l'intérieur, des garçons et des filles devenus de «jeunes vieillards», rongés par le progrès d'un inguérissable épuisement. Plus une authentique vieille un peu folle, cocotte des années trente restée fidèle au style Sonia Delaunay, venue s'installer là avec son chat «parce que rien n'est pire que la solitude». Au fur et à mesure que les autres s'affaiblissement, elle, grâce à beaucoup de plantes et aux soins trop empressés de deux médecins, miraculeusement rajeunit. Monte progressivement une troisième voix, le journal d'un cosmologue, où se livre à nu la méditation : comment apprendre à mourir ? |
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