Titre : | Chaque fête du sang | Type de document : | texte imprimé | Auteurs et autres personnes : | Jean-Louis Bastian, Auteur | Editeur : | Paris [France] : Denoël (Gontier) | Année : | 1986 | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-207-23274-3 | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Roman
| Mots-clés : | gay Maroc | Résumé : | Après une presque noyade qui lui a donné un avant-goût de la mort, un jeune Français séjournant au Maroc décide d'offrir à ce corps qui a failli se perdre, non plus le libertinage qu'il pratiquait déjà avec légèreté, mais la liberté totale, celle qui passe par la fulgurance du désir et la jouissance délivrée des contraintes. Une passion amoureuse le jette vers le blond Djami, le berbère, homonyme du dernier serviteur qu'eut Rimbaud au Harrar. Avec lui, il court tous les risques, y compris celui de perdre son identité. Leur histoire, dans un pays où la religion officielle tolère l'homosexualité mais la punit lorsqu'elle se donne à voir, se joue sous un soleil qui auréole les corps - corps d'enfants, d'adolescents, d'adultes, saisis dans la provocation, le plaisir ou le repos - et exarcebe les odeurs : l'odeur de sang des abattoirs, en résonance avec les cultes sanglants des traditions dionysiaques. |
Chaque fête du sang [texte imprimé] / Jean-Louis Bastian, Auteur . - Paris (France) : Denoël (Gontier), 1986. ISBN : 978-2-207-23274-3 Langues : Français ( fre) Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Roman
| Mots-clés : | gay Maroc | Résumé : | Après une presque noyade qui lui a donné un avant-goût de la mort, un jeune Français séjournant au Maroc décide d'offrir à ce corps qui a failli se perdre, non plus le libertinage qu'il pratiquait déjà avec légèreté, mais la liberté totale, celle qui passe par la fulgurance du désir et la jouissance délivrée des contraintes. Une passion amoureuse le jette vers le blond Djami, le berbère, homonyme du dernier serviteur qu'eut Rimbaud au Harrar. Avec lui, il court tous les risques, y compris celui de perdre son identité. Leur histoire, dans un pays où la religion officielle tolère l'homosexualité mais la punit lorsqu'elle se donne à voir, se joue sous un soleil qui auréole les corps - corps d'enfants, d'adolescents, d'adultes, saisis dans la provocation, le plaisir ou le repos - et exarcebe les odeurs : l'odeur de sang des abattoirs, en résonance avec les cultes sanglants des traditions dionysiaques. |
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