Titre : | Une année amoureuse de Virginia Woolf | Type de document : | texte imprimé | Auteurs et autres personnes : | Christine Duhon, Auteur | Edition : | 1990 | Editeur : | Olivier Orban | Année : | 1990 | Importance : | 282 pages | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-85565-574-1 | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Littérature Littérature: Du XXe Littérature: Roman
| Mots-clés : | littérature lesbienne mariage | Résumé : | Les grands écrivains peuvent-ils aimer de façon désintéressée ? En 1927, Virginia Woolf n’est pas encore au faîte de sa gloire. Elle vit à Monk’s House auprès de Leonard Woolf, son mari et éditeur, quand elle entreprend d’écrire Orlando, le roman inspiré de sa liaison avec Vita Sackville West. Excentrique, amoureuse et dévergondée, entourée de luxe, descendant d’une illustre famille, Vita trouble à ce point le puritanisme de Virginia que celle-ci s’échappe en transformant sa maîtresse en héroïne de roman. Mais Vita n’est pas femme à se laisser construire comme un chapitre ni étaler comme une phrase. Dans ce face-à-face de deux tempéraments où s’opposent la licence de l’une et la froideur de l’autre, la joie de vivre et la neurasthénie, deux arbitres : Harold Nicolson et Leonard Woolf. Maris complaisants ou compréhensifs ? |
Une année amoureuse de Virginia Woolf [texte imprimé] / Christine Duhon, Auteur . - 1990 . - [S.l.] : Olivier Orban, 1990 . - 282 pages. ISBN : 978-2-85565-574-1 Langues : Français ( fre) Catégories : | Littérature Littérature: Du XXe Littérature: Roman
| Mots-clés : | littérature lesbienne mariage | Résumé : | Les grands écrivains peuvent-ils aimer de façon désintéressée ? En 1927, Virginia Woolf n’est pas encore au faîte de sa gloire. Elle vit à Monk’s House auprès de Leonard Woolf, son mari et éditeur, quand elle entreprend d’écrire Orlando, le roman inspiré de sa liaison avec Vita Sackville West. Excentrique, amoureuse et dévergondée, entourée de luxe, descendant d’une illustre famille, Vita trouble à ce point le puritanisme de Virginia que celle-ci s’échappe en transformant sa maîtresse en héroïne de roman. Mais Vita n’est pas femme à se laisser construire comme un chapitre ni étaler comme une phrase. Dans ce face-à-face de deux tempéraments où s’opposent la licence de l’une et la froideur de l’autre, la joie de vivre et la neurasthénie, deux arbitres : Harold Nicolson et Leonard Woolf. Maris complaisants ou compréhensifs ? |
|