Titre : | Ecriture inclusive : "Hommes-femmes : toutes égales" | Type de document : | texte imprimé | Auteurs et autres personnes : | Sabine Beaucamp, Auteur ; Davy Borde, Auteur ; Florence Brasseur, Auteur ; Jessy Cormont, Auteur ; Jean Cornil, Auteur ; Lionel Dutrieux, Auteur ; Margaux Joachim, Auteur ; Céline Labrosse, Auteur ; Michaël Lessard, Auteur ; Cécile Mantello, Auteur ; Sabine Panet, Auteur ; Laurence Rosier, Auteur ; Dominique Surleau, Auteur ; Daniel Tanuro, Auteur ; Eliane Viennot, Auteur | Editeur : | Bruxelles [Belgique] : PAC éditions | Année : | 2018 | Collection : | Cahiers de l'éducation permanente | Importance : | 138 pages | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-930524-62-7 | Note générale : | Féminiser la langue, ce n’est pas écrire un « mauvais » français, mais chercher à redéfinir ce que doit être le français correct.
Dépoussiérer la grammaire n’est pas une fantaisie, c’est un juste retour des choses. L’écriture inclusive, que certain.e.s appellent aussi écriture égalitaire ou écriture militante féministe, entend remettre en question la prédominance du genre masculin dans les différentes composantes de la langue française. On le sait le français n’est pas une langue fixe, dont les dogmes seraient éternels. Il s’enrichit par son évolution perpétuelle, sans que les personnes cessent de se comprendre ou de communiquer efficacement pour autant.
Continuer à écrire une langue où « le masculin l’emporte », c’est en somme faire perdurer l’héritage de la société patriarcale. C’est plus qu’un symbole. L’époque est donc propice à l’éclatement des normes linguistiques sexistes. Les guides de féminisation se répandent de plus en plus et font l’objet de nombreuses initiatives d’éducation populaire. Choisir de féminiser, c’est, d’une certaine manière, redonner du sens aux mots. La féminisation, si elle se généralise, changera forcément certaines règles de grammaire ou de style. Mais la lutte pour l’égalité est à ce prix.
Dans ce nouveau numéro des Cahiers de l’éducation permanente, le sujet est analysé par des linguistes, chercheur.e.s, auteurs.trices, sociologues, grammarien.ne.s, des professeur.e.s, des historien.ne.s, des formateurs et formatrices en éducation populaire, etc. Elles, ils portent différents regards sur cette façon d’envisager l’écriture, sur la manière dont s’éclaire et s’organise l’égalité entre les femmes et les hommes. Bien plus qu’un symbole ! | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Sciences humaines:Langage, sémiologie, communication
| Note de contenu : | Sommaire en ligne (cf. lien). | En ligne : | https://www.pac-g.be/wp-content/uploads/2018/12/sommaire_cep_53.pdf | Format de la ressource électronique : | pdf |
Ecriture inclusive : "Hommes-femmes : toutes égales" [texte imprimé] / Sabine Beaucamp, Auteur ; Davy Borde, Auteur ; Florence Brasseur, Auteur ; Jessy Cormont, Auteur ; Jean Cornil, Auteur ; Lionel Dutrieux, Auteur ; Margaux Joachim, Auteur ; Céline Labrosse, Auteur ; Michaël Lessard, Auteur ; Cécile Mantello, Auteur ; Sabine Panet, Auteur ; Laurence Rosier, Auteur ; Dominique Surleau, Auteur ; Daniel Tanuro, Auteur ; Eliane Viennot, Auteur . - PAC éditions, 2018 . - 138 pages. - ( Cahiers de l'éducation permanente) . ISBN : 978-2-930524-62-7 Féminiser la langue, ce n’est pas écrire un « mauvais » français, mais chercher à redéfinir ce que doit être le français correct.
Dépoussiérer la grammaire n’est pas une fantaisie, c’est un juste retour des choses. L’écriture inclusive, que certain.e.s appellent aussi écriture égalitaire ou écriture militante féministe, entend remettre en question la prédominance du genre masculin dans les différentes composantes de la langue française. On le sait le français n’est pas une langue fixe, dont les dogmes seraient éternels. Il s’enrichit par son évolution perpétuelle, sans que les personnes cessent de se comprendre ou de communiquer efficacement pour autant.
Continuer à écrire une langue où « le masculin l’emporte », c’est en somme faire perdurer l’héritage de la société patriarcale. C’est plus qu’un symbole. L’époque est donc propice à l’éclatement des normes linguistiques sexistes. Les guides de féminisation se répandent de plus en plus et font l’objet de nombreuses initiatives d’éducation populaire. Choisir de féminiser, c’est, d’une certaine manière, redonner du sens aux mots. La féminisation, si elle se généralise, changera forcément certaines règles de grammaire ou de style. Mais la lutte pour l’égalité est à ce prix.
Dans ce nouveau numéro des Cahiers de l’éducation permanente, le sujet est analysé par des linguistes, chercheur.e.s, auteurs.trices, sociologues, grammarien.ne.s, des professeur.e.s, des historien.ne.s, des formateurs et formatrices en éducation populaire, etc. Elles, ils portent différents regards sur cette façon d’envisager l’écriture, sur la manière dont s’éclaire et s’organise l’égalité entre les femmes et les hommes. Bien plus qu’un symbole ! Langues : Français ( fre) |