Titre : | La Lutte finale | Type de document : | texte imprimé | Auteurs et autres personnes : | Conrad Detrez (1937-1985) , Auteur | Edition : | 1980 | Editeur : | Paris [France] : Balland | Année : | 1980 | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7158-0229-2 | Langues : | Français (fre) Langues originales : Français (fre) | Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Roman
| Mots-clés : | gay | Résumé : | Que peuvent faire des jeunes hommes, nés dans un bidonville, saisis par la fureur de vivre, si ce n'est l'amour et la révolution? Pour ces fils de la misère il n'est de consolation que dans le plaisir et d'issue que dans la "lutte finale".
Cette double passion les entraîne naturellement dans toutes sortes d'aventures, héroïques, bouffonnes, ou tragiques.
A travers leurs expériences, l'auteur pourfend les grandiloquences, idéologiques ou sentimentales et ce, dans une écriture inspirée de la plus pure veine picaresque.
Au delà d'une poignante célébration de l'amitié entre deux "paumés", il nous jette au visage ce qui se passe derrière les murs de notre Occident de fanfreluches. |
La Lutte finale [texte imprimé] / Conrad Detrez (1937-1985) , Auteur . - 1980 . - Paris (33 rue Saint André des Arts, 75006, France) : Balland, 1980. ISBN : 978-2-7158-0229-2 Langues : Français ( fre) Langues originales : Français ( fre) Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Roman
| Mots-clés : | gay | Résumé : | Que peuvent faire des jeunes hommes, nés dans un bidonville, saisis par la fureur de vivre, si ce n'est l'amour et la révolution? Pour ces fils de la misère il n'est de consolation que dans le plaisir et d'issue que dans la "lutte finale".
Cette double passion les entraîne naturellement dans toutes sortes d'aventures, héroïques, bouffonnes, ou tragiques.
A travers leurs expériences, l'auteur pourfend les grandiloquences, idéologiques ou sentimentales et ce, dans une écriture inspirée de la plus pure veine picaresque.
Au delà d'une poignante célébration de l'amitié entre deux "paumés", il nous jette au visage ce qui se passe derrière les murs de notre Occident de fanfreluches. |
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