Titre précédent / Hélène de MonferrandTitre : | Journal de Suzanne | Type de document : | texte imprimé | Auteurs et autres personnes : | Hélène de Monferrand (1947-), Auteur | Edition : | 1991 | Editeur : | Paris : Editions de Fallois | Année : | 1991 | Importance : | 354 pages | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-87706-118-6 | Langues : | Français (fre) Langues originales : Français (fre) | Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Roman
| Mots-clés : | lesbien | Résumé : | Elles avaient bien du charme, ces "amies d'Héloïse" qui valurent à Hélène de Montferrand le prix Goncourt du 1er roman.
Dans les lettres qu'elles s'écrivaient, toute leur vie passait. Et leur époque. Leurs amours "différentes" -dont elles parlaient sans baisser la voix ni les yeux- n'étaient plus avec elles un défi, une étrangeté, une anomalie, un cas, elles étaient l'amour même.
L'amour, cette évidence.
L'une d'elles, Suzanne, se donnait la mort au milieu du roman.
C'est à elle que la romancière donne ici la parole. Du jour où elle se sait condamnée, Suzanne décide de tenir son journal et de rédiger ses souvenirs : pour Héloïse, la femme qu'elle a probablement le plus aimée, et pour elle-même. Avec une rare lucidité et sans complaisance, elle déroule le film d'une existence pendant laquelle elle a connu le désespoir, frôlé la mort, mais aussi donné et reçu beaucoup d'amour, passionnément aimé la vie et les plaisirs des sens. |
Titre précédent / Hélène de MonferrandJournal de Suzanne [texte imprimé] / Hélène de Monferrand (1947-), Auteur . - 1991 . - Paris : Editions de Fallois, 1991 . - 354 pages. ISBN : 978-2-87706-118-6 Langues : Français ( fre) Langues originales : Français ( fre) Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Roman
| Mots-clés : | lesbien | Résumé : | Elles avaient bien du charme, ces "amies d'Héloïse" qui valurent à Hélène de Montferrand le prix Goncourt du 1er roman.
Dans les lettres qu'elles s'écrivaient, toute leur vie passait. Et leur époque. Leurs amours "différentes" -dont elles parlaient sans baisser la voix ni les yeux- n'étaient plus avec elles un défi, une étrangeté, une anomalie, un cas, elles étaient l'amour même.
L'amour, cette évidence.
L'une d'elles, Suzanne, se donnait la mort au milieu du roman.
C'est à elle que la romancière donne ici la parole. Du jour où elle se sait condamnée, Suzanne décide de tenir son journal et de rédiger ses souvenirs : pour Héloïse, la femme qu'elle a probablement le plus aimée, et pour elle-même. Avec une rare lucidité et sans complaisance, elle déroule le film d'une existence pendant laquelle elle a connu le désespoir, frôlé la mort, mais aussi donné et reçu beaucoup d'amour, passionnément aimé la vie et les plaisirs des sens. |
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