Titre précédent / Roger PeyrefitteTitre : | Les Fils de la lumière | Type de document : | texte imprimé | Auteurs et autres personnes : | Roger Peyrefitte (1907-2000), Auteur | Edition : | 1973 | Editeur : | Paris [France] : J'ai lu | Année : | 1961 | Langues : | Français (fre) Langues originales : Français (fre) | Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Roman
| Mots-clés : | religions | Résumé : | Georges de Sarre a dit adieu au monde des Ambassades et abandonné sa particule en même temps que la diplomatie pour devenir écrivain. Si quelques fils gris argentent ses tempes, il a gardé le goût de mordre à la vie à belles dents et de ne refuser aucune expérience. Aussi, après les premiers étonnements, écoute-t-il le mentor de ses jeunes années, le père de Trennes, qui voudrait le voir devenir franc-maçon. Pourquoi cette surprise, c'est que la franc-maçonnerie ne passe pas pour être en odeur de sainteté auprès des autorités ecclésiastiques. Georges connaissait quelques-uns des préjugés qui s'attachent à cette société secrète ; il en étudie, guidé par l'élégant jésuite, les arcanes et la puissance.
Comme son amie Françoise s'oppose à ses projets et que la fille de Françoise, l'acide et vive Osmonde, s'y intéresse, cela lui est l'occasion de rompre des lances en faveur de ces « fils de la lumière » qui défendent la fraternité universelle sous le symbole de l'équerre et de la truelle - et de brosser un de ces tableaux où se mêlent ombres et lumières. |
Titre précédent / Roger PeyrefitteLes Fils de la lumière [texte imprimé] / Roger Peyrefitte (1907-2000), Auteur . - 1973 . - Paris (France) : J'ai lu, 1961. Langues : Français ( fre) Langues originales : Français ( fre) Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Roman
| Mots-clés : | religions | Résumé : | Georges de Sarre a dit adieu au monde des Ambassades et abandonné sa particule en même temps que la diplomatie pour devenir écrivain. Si quelques fils gris argentent ses tempes, il a gardé le goût de mordre à la vie à belles dents et de ne refuser aucune expérience. Aussi, après les premiers étonnements, écoute-t-il le mentor de ses jeunes années, le père de Trennes, qui voudrait le voir devenir franc-maçon. Pourquoi cette surprise, c'est que la franc-maçonnerie ne passe pas pour être en odeur de sainteté auprès des autorités ecclésiastiques. Georges connaissait quelques-uns des préjugés qui s'attachent à cette société secrète ; il en étudie, guidé par l'élégant jésuite, les arcanes et la puissance.
Comme son amie Françoise s'oppose à ses projets et que la fille de Françoise, l'acide et vive Osmonde, s'y intéresse, cela lui est l'occasion de rompre des lances en faveur de ces « fils de la lumière » qui défendent la fraternité universelle sous le symbole de l'équerre et de la truelle - et de brosser un de ces tableaux où se mêlent ombres et lumières. |
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