Titre : | Les Olympiques : Le Paradis à l'ombre des épées. Les Onze devant la porte dorée | Type de document : | texte imprimé | Auteurs et autres personnes : | Henry de Montherlant (1895-1972) , Auteur | Edition : | 1955 | Editeur : | Paris [France] : Gallimard | Année : | 1924 | Langues : | Français (fre) Langues originales : Français (fre) | Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Nouvelle & formes brèves Littérature: Poésie
| Mots-clés : | sport | Résumé : | Montherlant, au retour du front, s'adonne aux sports, notamment au football et à la course à pied (il court le cent mètres en 11 secondes 4/5). Les émotions que lui ont procurées les jeux du stade, associées aux réminiscences antiques, lui inspirent des poèmes, des nouvelles, des essais qui composent les deux volumes des Olympiques (publiés d'abord séparément) : Le Paradis à l'ombre des épées et Les Onze devant la Porte dorée.
De tous ses livres, c'est celui que Montherlant préfère. Il y chante avec un bonheur constant d'inspiration, une grande fraîcheur de ton, les sentiments les plus purs qui soient au cœur de l'homme : la joie de l'effort physique, la camaraderie, le sens de l'équipe. | Note de contenu : | Préface
Le Paradis à l'ombre des épées
Les Onze devant la porte dorée |
Les Olympiques : Le Paradis à l'ombre des épées. Les Onze devant la porte dorée [texte imprimé] / Henry de Montherlant (1895-1972) , Auteur . - 1955 . - Paris (France) : Gallimard, 1924. Langues : Français ( fre) Langues originales : Français ( fre) Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Nouvelle & formes brèves Littérature: Poésie
| Mots-clés : | sport | Résumé : | Montherlant, au retour du front, s'adonne aux sports, notamment au football et à la course à pied (il court le cent mètres en 11 secondes 4/5). Les émotions que lui ont procurées les jeux du stade, associées aux réminiscences antiques, lui inspirent des poèmes, des nouvelles, des essais qui composent les deux volumes des Olympiques (publiés d'abord séparément) : Le Paradis à l'ombre des épées et Les Onze devant la Porte dorée.
De tous ses livres, c'est celui que Montherlant préfère. Il y chante avec un bonheur constant d'inspiration, une grande fraîcheur de ton, les sentiments les plus purs qui soient au cœur de l'homme : la joie de l'effort physique, la camaraderie, le sens de l'équipe. | Note de contenu : | Préface
Le Paradis à l'ombre des épées
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