Titre : | Monsieur Proust | Type de document : | texte imprimé | Auteurs et autres personnes : | Céleste Albaret, Auteur ; Georges Belmont, Auteur ; Marcel Proust (1871-1922) , Personne représentée, étudiée ou honorée | Editeur : | Paris [France] : Robert Laffont | Année : | 1973 | Collection : | Vécu | Note générale : | Céleste Albaret fut la gouvernante et l'unique confidente de Marcel Proust pendant les huit années où il écrivit son oeuvre, ce monument de la littérature mondiale. Jour après jour, elle assista dans sa vie, son travail et son long martyre, ce grand malade génial qui se tua volontairement à la tâche. Depuis la mort de Proust de 1922, elle avait toujours refusé de livrer ses souvenirs. A quatre-vingt-deux ans, elle a décidé de rendre ce dernier devoir à celui qui lui disait : "Ce sont vos belles petites mains qui me fermeront les yeux". Par rapport aux centaines de livres publiés sur lui, ce que ce témoignage capital apporte, c'est l'image, bouleversante et unique de vérité, d'un Proust perdu enfin retrouvé, et sortant de la plus fidèle des mémoires, celle du coeur, pour revivre parmi nous. | Langues : | Français (fre) Langues originales : Français (fre) | Catégories : | Généralités et biographies:Souvenirs et témoignages personnels
| Mots-clés : | XIXe XXe France | Index. décimale : | Pastille verte Pour les ouvrages mis dans les armoires Généralités et Biographies |
Monsieur Proust [texte imprimé] / Céleste Albaret, Auteur ; Georges Belmont, Auteur ; Marcel Proust (1871-1922) , Personne représentée, étudiée ou honorée . - Robert Laffont, 1973. - ( Vécu) . Céleste Albaret fut la gouvernante et l'unique confidente de Marcel Proust pendant les huit années où il écrivit son oeuvre, ce monument de la littérature mondiale. Jour après jour, elle assista dans sa vie, son travail et son long martyre, ce grand malade génial qui se tua volontairement à la tâche. Depuis la mort de Proust de 1922, elle avait toujours refusé de livrer ses souvenirs. A quatre-vingt-deux ans, elle a décidé de rendre ce dernier devoir à celui qui lui disait : "Ce sont vos belles petites mains qui me fermeront les yeux". Par rapport aux centaines de livres publiés sur lui, ce que ce témoignage capital apporte, c'est l'image, bouleversante et unique de vérité, d'un Proust perdu enfin retrouvé, et sortant de la plus fidèle des mémoires, celle du coeur, pour revivre parmi nous. Langues : Français ( fre) Langues originales : Français ( fre) |