Titre : | Le baiser de la femme-araignée | Titre original : | El beso de la mujer arana | Type de document : | texte imprimé | Auteurs et autres personnes : | Manuel Puig (1932-1990), Auteur ; Lorette Nobécourt, Préfacier, auteur de l'introduction ; Albert Bensoussan, Traducteur/trice | Edition : | 2012 | Editeur : | Paris [France] : Seuil | Année : | 1976 | Collection : | Points | Sous-collection : | Signatures num. P2919 | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7578-3178-6 | Langues : | Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) | Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Roman
| Mots-clés : | Argentine gay prison | Résumé : | Une prison de Buenos Aires. Dans une cellule, deux jeunes hommes très dissemblables : Valentin, un guérillero urbain ; Molina, un étalagiste arrêté pour détournement de mineurs. Le soir, pour tuer le temps, Molina raconte des films à son compagnon de cellule ; et comme il est cinéphile, tout le répertoire international y passe, depuis les chefs-d'oeuvre de l'horreur jusqu'aux " bijoux " de la production mexicaine des années cinquante. Et cette fiction du soir, cette cinémathèque parlée, jour après jour, unit les deux condamnés.
Or, on ne se met pas à rêver sans s'en retrouver changé. Molina et Valentin, au terme de tant de récits partagés, ne seront, chacun, plus le même. Et le paradoxe est que, dans le peu qu'il leur reste à vivre, chacun va se trouver être à la fois plus proche de sa vérité et transformé en héros de cinéma. |
Le baiser de la femme-araignée = El beso de la mujer arana [texte imprimé] / Manuel Puig (1932-1990), Auteur ; Lorette Nobécourt, Préfacier, auteur de l'introduction ; Albert Bensoussan, Traducteur/trice . - 2012 . - Seuil, 1976. - ( Points. Signatures; P2919) . ISBN : 978-2-7578-3178-6 Langues : Français ( fre) Langues originales : Espagnol ( spa) Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Roman
| Mots-clés : | Argentine gay prison | Résumé : | Une prison de Buenos Aires. Dans une cellule, deux jeunes hommes très dissemblables : Valentin, un guérillero urbain ; Molina, un étalagiste arrêté pour détournement de mineurs. Le soir, pour tuer le temps, Molina raconte des films à son compagnon de cellule ; et comme il est cinéphile, tout le répertoire international y passe, depuis les chefs-d'oeuvre de l'horreur jusqu'aux " bijoux " de la production mexicaine des années cinquante. Et cette fiction du soir, cette cinémathèque parlée, jour après jour, unit les deux condamnés.
Or, on ne se met pas à rêver sans s'en retrouver changé. Molina et Valentin, au terme de tant de récits partagés, ne seront, chacun, plus le même. Et le paradoxe est que, dans le peu qu'il leur reste à vivre, chacun va se trouver être à la fois plus proche de sa vérité et transformé en héros de cinéma. |
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