Titre : | Un chemin semé de graviers mauves | Type de document : | texte imprimé | Auteurs et autres personnes : | Odette Menteau, Auteur | Editeur : | Paris [France] : Geneviève Pastre éditions | Année : | 1994 | Collection : | Les Octaviennes | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Roman
| Mots-clés : | lesbien adolescence | Résumé : | Pauline n'est certes pas une petite fille comme les autres. D'une famille "ouvrière et nécessiteuse", dont la mère est concierge rue de la roquette à Paris, "maman est un remède énergétique, une soupe réconfortante" et dont le père travaille en usine dans la banlieue nord, elle connaît la chaleur du quotidien entre des être frustres mais pleins de caractère.
Les enfants ont leur vie propre : les frères, la sœur aînée, la confidente et la complice, mieux, la semblable, Louise et la kyrielle des petites filles dont Pauline tombe amoureuse : Evelyne, la grande copine de Muriel, Monique, Luce, Pépé, Annick, Marie, Lili... C'est en "garçon manqué", faute d'image plus appropriée qu'elle vit intensément ses premières amours enfantines : "Ah ! Combien il est agréable d'aimer une autre petite fille !" Quand elle passe du garçon manqué aux amours adolescentes, Michèle, Catherine, "Sarah ! je t'aime", bien d'autres, les choses changent : " c'est pas marrant d'aimer, ça fait des trucs bizarres, dans la tête pis dans l'corps". Mais quelques années plus tard, Pauline trouve clairement sa voie : "ce premier week-end en compagnie d'une amante a laissé sur ma peau l'emprunte profonde de la liberté. De beaux sillons sur mon corps ressemblent à des champs sans barrière". Elle aura alors le courage de sauter tous les obstacles. |
Un chemin semé de graviers mauves [texte imprimé] / Odette Menteau, Auteur . - Geneviève Pastre éditions, 1994. - ( Les Octaviennes) . Langues : Français ( fre) Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Roman
| Mots-clés : | lesbien adolescence | Résumé : | Pauline n'est certes pas une petite fille comme les autres. D'une famille "ouvrière et nécessiteuse", dont la mère est concierge rue de la roquette à Paris, "maman est un remède énergétique, une soupe réconfortante" et dont le père travaille en usine dans la banlieue nord, elle connaît la chaleur du quotidien entre des être frustres mais pleins de caractère.
Les enfants ont leur vie propre : les frères, la sœur aînée, la confidente et la complice, mieux, la semblable, Louise et la kyrielle des petites filles dont Pauline tombe amoureuse : Evelyne, la grande copine de Muriel, Monique, Luce, Pépé, Annick, Marie, Lili... C'est en "garçon manqué", faute d'image plus appropriée qu'elle vit intensément ses premières amours enfantines : "Ah ! Combien il est agréable d'aimer une autre petite fille !" Quand elle passe du garçon manqué aux amours adolescentes, Michèle, Catherine, "Sarah ! je t'aime", bien d'autres, les choses changent : " c'est pas marrant d'aimer, ça fait des trucs bizarres, dans la tête pis dans l'corps". Mais quelques années plus tard, Pauline trouve clairement sa voie : "ce premier week-end en compagnie d'une amante a laissé sur ma peau l'emprunte profonde de la liberté. De beaux sillons sur mon corps ressemblent à des champs sans barrière". Elle aura alors le courage de sauter tous les obstacles. |
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