Titre : | Je porte plainte | Type de document : | texte imprimé | Auteurs et autres personnes : | Catherine Leprince, Auteur | Edition : | 2007 | Editeur : | Paris [France] : La Cerisaie | Année : | 2007 | Importance : | 167 pages | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-914908-43-6 | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Littérature: Du XXIe Littérature: Roman
| Résumé : | Je vais le faire pour toi Cécile, pour te sauver en t'emmenant avec moi sur la crête. Tu laisseras tes mots danser seuls sur l'écran, tu abandonneras tes repères caillés pour des chaussées océaniques. Viens, fusionne avec moi, je serai ton nègre, ta marchande de voyelles, ta chair en costard. Viens, affûte une dernière fois mes armes paresseuses, et laisse-toi bronzer sous mes réverbères. Si tu as la trouille, je te tricoterai du chahut dans ta logique et... logiquement, ça marche.
Au fil des mots, ce récit s'apparente à un monologue halluciné dans lequel chaque corridor, chaque nouvelle rencontre conduit à une impasse relationnelle. Pour savourer pleinement les méandres de l'univers métaphorique et poétique de Cécile, il faut accepter de se laisser guider par la narratrice, comme jadis on s'abandonnait aux délicieux frissons du train fantôme. |
Je porte plainte [texte imprimé] / Catherine Leprince, Auteur . - 2007 . - Paris (France) : La Cerisaie, 2007 . - 167 pages. ISBN : 978-2-914908-43-6 Langues : Français ( fre) Catégories : | Littérature: Du XXIe Littérature: Roman
| Résumé : | Je vais le faire pour toi Cécile, pour te sauver en t'emmenant avec moi sur la crête. Tu laisseras tes mots danser seuls sur l'écran, tu abandonneras tes repères caillés pour des chaussées océaniques. Viens, fusionne avec moi, je serai ton nègre, ta marchande de voyelles, ta chair en costard. Viens, affûte une dernière fois mes armes paresseuses, et laisse-toi bronzer sous mes réverbères. Si tu as la trouille, je te tricoterai du chahut dans ta logique et... logiquement, ça marche.
Au fil des mots, ce récit s'apparente à un monologue halluciné dans lequel chaque corridor, chaque nouvelle rencontre conduit à une impasse relationnelle. Pour savourer pleinement les méandres de l'univers métaphorique et poétique de Cécile, il faut accepter de se laisser guider par la narratrice, comme jadis on s'abandonnait aux délicieux frissons du train fantôme. |
|