Titre : | Marc | Type de document : | texte imprimé | Auteurs et autres personnes : | Jean-Michel Prigny, Auteur | Edition : | 1959 | Editeur : | Paris [France] : La Table ronde | Année : | 1959 | Importance : | 268 pages | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Roman
| Mots-clés : | religion Angleterre gay | Résumé : | Le collège catholique a été longtemps une île secrète et parfaitement défendue, jusqu'au jour où Roger Peyrefitte en livra quelques facettes. C'était en 1944.
Jean-Michel Prigny débarqua à son tour – 1959 – avec un jeune professeur d'anglais, Marc, que tout prédisposait à des amitiés particulières. D'abord, sans doute, par le fait que cet enseignant arrive d'un pays où Dickens lui-même ne resta pas indifférent aux attraits qu'un bel adolescent peut exercer sur un cadet trop sensible (il y a une homosexualité larvée dans l'admiration passionnée qu'éprouve David Copperfield pour son camarade James Steerforth).
Marc est un jeune homme à peine adulte ; il vient d'Oxford, où il a séjourné l'année précédente, il a laissé William, un professeur de français quadragénaire, auprès de qui il a connu, pendant plusieurs mois, les joies de l'amitié.
Marc, de retour en France, rejoint un collège religieux de province. Là, il est partagé entre l'affection que lui portent ses aînés (les Pères Supérieurs) et celle qu'il voue déjà à ses cadets (ses élèves).
Il s'éprendra donc de l'un d'eux, Christian, un jeune orphelin de quatorze ans. Leur amitié réciproque restera très pure. Amitié qui éveillera la jalousie d'un autre élève : Alain de Sainte-Maure. |
Marc [texte imprimé] / Jean-Michel Prigny, Auteur . - 1959 . - Paris (France) : La Table ronde, 1959 . - 268 pages. Langues : Français ( fre) Catégories : | Littérature: Du XXe Littérature: Roman
| Mots-clés : | religion Angleterre gay | Résumé : | Le collège catholique a été longtemps une île secrète et parfaitement défendue, jusqu'au jour où Roger Peyrefitte en livra quelques facettes. C'était en 1944.
Jean-Michel Prigny débarqua à son tour – 1959 – avec un jeune professeur d'anglais, Marc, que tout prédisposait à des amitiés particulières. D'abord, sans doute, par le fait que cet enseignant arrive d'un pays où Dickens lui-même ne resta pas indifférent aux attraits qu'un bel adolescent peut exercer sur un cadet trop sensible (il y a une homosexualité larvée dans l'admiration passionnée qu'éprouve David Copperfield pour son camarade James Steerforth).
Marc est un jeune homme à peine adulte ; il vient d'Oxford, où il a séjourné l'année précédente, il a laissé William, un professeur de français quadragénaire, auprès de qui il a connu, pendant plusieurs mois, les joies de l'amitié.
Marc, de retour en France, rejoint un collège religieux de province. Là, il est partagé entre l'affection que lui portent ses aînés (les Pères Supérieurs) et celle qu'il voue déjà à ses cadets (ses élèves).
Il s'éprendra donc de l'un d'eux, Christian, un jeune orphelin de quatorze ans. Leur amitié réciproque restera très pure. Amitié qui éveillera la jalousie d'un autre élève : Alain de Sainte-Maure. |
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